La voie de l’économie circulaire implique une multitude de changement de la part des pouvoirs publics, des consommateurs et des entreprises. Pour ces dernières, il leur faut repenser leur logistique pour inclure de nouveaux acteurs et disposer d’une logistique « inverse ».
Ce type de logistique existe déjà sous la forme du retour client. Mais dans l’économie circulaire, cela va beaucoup plus loin. Ces flux logistiques doivent permettre de récupérer les produits chez les consommateurs ou dans des points relais pour les réintroduire dans la boucle de recyclage.
La supply chain se complexifiant couplée à la logistique inverse, ces éléments donnent une place encore plus importante à la traçabilité des marchandises, des documents mais aussi des contenants, des interventions subies par les produits.
L’interopérabilité des données et la traçabilité des flux se révèlent nécessaires pour l’harmonisation et l’optimisation de ces nouveaux circuits logiques.
Pour approfondir la prospective sur le sujet, nous vous conseillons le rapport « Economie circulaire en 2040 », écrit par INRS France : https://www.inrs.fr/media.html?refINRS=PV%2010